Hypnothérapeute enfants, jeunes adultes | Toulouse

Loin d’être un état de sommeil, l’hypnose requiert un état de conscience où tous les sens sont en éveil.

l’enfant reste en contrôle et conscient afin d’accéder à son « lui » ou son « moi ». L’enfant est invité à s’évader. Il s’autorise à rêver, à prendre le temps, son temps, c’est son moment. Il sera libre de penser et encouragé à voir, sentir, goûter, ressentir, entendre tout ce qui « lui passe par la tête.

Cette liberté d’imaginer encouragée est très constructive et positive pour l’enfant. La première séance sera consacrée à établir une relation entre le thérapeute et les parents ainsi qu’entre le thérapeute et l’enfant.

Les séances suivantes, en revanche n’impliqueront pas les parents directement. Le principe de ces séances est fondé sur l’hypnose conversationnelle. Pas de recherche de transe hypnotique mais un échange puis un discours du thérapeute permettant à l’enfant d’aller se promener dans son monde intérieur et ramener avec lui autant d’images et d’histoires qui lui permettront d’accéder à un meilleur contrôle de ses pensées et de ses actes. Faire qu’un peu de ses « rêves » entrent dans sa réalité ».

Hypnotiser un enfant, est-ce dangereux ? Absolument pas. Bien au contraire ! Alors que les adultes résistent bien malgré eux lors des séances, à laisser parler leur subconscient et à se détacher de la réalité, les enfants réagissent complètement différemment. Ils ont une imagination débordante et accessible facilement, car ils sont très réceptifs.

L’ âge à une importance sur la réceptivité et la maléabilité de chacun. En bas âge, un enfant sera difficilement concerné et impliqué dans les séances. L’ âge de raison est atteint aux alentours de 6 ans, les enfants sont très impliqués et trouvent généralement la séance ludique. Plus tard, les adolescents sont souvent en construction de leur mental, ils sont parfois moins à l’ écoute.

• L’énurésie ou pipi au lit.
• L’encoprésie ou incontinence fécale.
• Le manque d’estime de soi et de confiance en soi (induite par un trouble tel que la dyslexie, la dyspraxie, la dyscalculie, la dysorthographie… ou non).
• Les peurs et les phobies diverses.
• Les troubles du sommeil.
• Les troubles de gestion des émotions (tristesse, colère, angoisse, timidité…).
• Les conséquences du TDAH (stress, manque de concentration, oublis, agitation…).
• Les profils haut potentiel (inattention, hypersensibilité…).
• Les troubles alimentaires divers (anorexie, boulimie…).

Assister à la première rencontre est nécessaire pour échanger sur les besoins de l’ enfant. Les parents pourront poser toutes leurs questions (et leurs inquiétudes) au praticien. De même, le professionnel s’intéressera au fonctionnement de la famille. À l’issue de ces échanges, quelques activités vont être proposées à l’enfant pour amorcer le travail à venir. Le reste des séances se fait sans la présence des parents.